Un peu d'humanité dans la musette
Dans l'enfer des tranchées, la musette du soldat lui assurait un peu d'humanité. Elle contenait son quart, sa cuillère, quelques photos, de quoi écrire, une pipe, du tabac, peut-être un jeu de carte et ses vivres.
Confectionnée en toile de lin, elle a le mérite d'être robuste, pratique et légère.
Reconstruite à l'identique par Etoffe Meuse, à l'initiative du centre social et culturel de Stenay, cette musette renforce le lien historique entre le pain du soldat et le quotidien de la Grande Guerre.